Bien que native de Bucarest et ayant séjourné et travaillé à New York, Georgeta Cordier est en France depuis 1989, et plus particulièrement à Rouen où elle s'est forgée une incontestable personnalité picturale au fil des cours d'atelier de l'Ecole Régionale des Beaux-Arts, qu'il s'agisse de ses huiles ou des plus récentes compositions d'encres sur papier. Georgeta Cordier se déclare émerveillée devant le Monde! Rien ne saurait mieux exprimer cette pensée que sa peinture dynamique et flamboyante, apparemment issue de sa formation initiale de photographe et cinéaste qui, ainsi, se prolonge en un talent remarquable au gré de ses peintures.
Paysages, marines, monuments sont capturés en plein essor, bouleversants de vie qu'ils sont, grâce à la conquête de la nature par une artiste entreprenante, observatrice de la magie des éléments restitués en larges flots de couleurs.
Cette avidité n'est pourtant qu'amour et sensibilité, et ces masses, ces lumières, Georgeta Cordier les métamorphose en séduction avec une réelle maestria, en élans limpides et expressifs, et si son geste s'exalte, c'est toujours avec la conviction d'en dégager plus encore la vitalité et l'harmonie.
De même pour ses nus et ses portraits tout en sensualité et en audace : leurs courbes sinueuses, généreuses, aux modelés puissants et aux nuances transparentes, ces courbes suivent le rythme et la passion de cette artiste.
En effet, Georgeta Cordier ne saurait s'en départir au gré de créations d'une telle intensité, qui vivifient un figuratif d'exception servi par une réalité passionnante.

André RUELLAN, critique d'art
Bien que native de Bucarest et ayant séjourné et travaillé
à New York, Georgeta Cordier est en France depuis 1989,
et plus particulièrement à Rouen où elle s'est forgée une incontestable personnalité picturale au fil des cours
d'atelier de l'Ecole Régionale des Beaux-Arts, qu'il s'agisse
de ses huiles ou des plus récentes compositions d'encres
sur papier. Georgeta Cordier se déclare émerveillée
devant le Monde! Rien ne saurait mieux exprimer
cette pensée que sa peinture dynamique et flamboyante, apparemment issue de sa formation initiale de
photographe et cinéaste qui, ainsi, se prolonge en
un talent remarquable au gré de ses peintures.
Paysages, marines, monuments sont capturés en plein
essor, bouleversants de vie qu'ils sont, grâce à la conquête

de la nature par une artiste entreprenante, observatrice de la magie des éléments restitués en larges flots de couleurs. Cette avidité n'est pourtant qu'amour et sensibilité, et ces masses, ces lumières, Georgeta Cordier les métamorphose en séduction avec une réelle maestria, en élans limpides et expressifs, et si son geste s'exalte, c'est toujours avec la conviction d'en dégager plus encore la vitalité et l'harmonie. De même pour ses nus et ses portraits tout en sensualité et en audace : leurs courbes sinueuses, généreuses, aux modelés puissants et aux nuances transparentes, ces courbes suivent le rythme et la passion de cette artiste. En effet, Georgeta Cordier ne saurait s'en départir au gré de créations d'une telle intensité, qui vivifient un figuratif d'exception servi par une réalité passionnante.

André RUELLAN, critique d'art


En voyant les œuvres de Georgeta Cordier (alias Jimmie Stan), on est immédiatement surpris par l’audace et la vivacité des couleurs, dans la lignée des "Fauves", ainsi que par le mouvement dont semblent animés les sujets – paysages, corps, objets… Peut-être l’ancienne cinéaste essaie-t-elle ainsi de restituer sur la toile le mouvement du monde que la photographie ne saurait rendre ? Ses sujets, mouvants et colorés, dégagent de "l’énergie" : précisément l’énergie qu’ils ont dans la réalité. Ainsi, Jimmie Stan restitue par la peinture la réalité au-delà de ce que proposent l’hyper-réalisme ou la photographie… ce qui est principalement ce qu’on attend de cet art. La peintre nous montre plus que ce que voient nos yeux.
L’artiste aime les voyages, pendant lesquels elle emplit ses carnets d’esquisses. Puis, dans son atelier, travaille à retrouver et projeter sur la toile la lumière et le mouvement des images gardées en mémoire. Elle se montre attentive au geste du pinceau et à la respiration, qui lui sont insufflés par la pratique du yoga et de la méditation. Sagesse et sérénité n’empêchent pourtant pas Georgeta Cordier de se montrer audacieuse… mais sans pour autant jamais perdre ou déboussoler le spectateur. Ses tableaux, en effet, nous parlent, parlent à l’esprit et au cœur. Ils figurent le monde, par le filtre du mouvement et de la lumière, qui jouent avec l’eau de la mer ou les courbes des corps. Ils procurent du plaisir – ce qu’on attend enfin de la peinture.
Ouvrez vos yeux sur le travail de Georgeta Cordier, peintre du mouvement et de la couleur du monde…

Christophe Chomant, éditeur
En voyant les œuvres de Georgeta Cordier (alias Jimmie Stan), on est immédiatement surpris par l’audace et la vivacité des couleurs, dans la lignée des "Fauves",
ainsi que par le mouvement dont semblent animés
les sujets – paysages, corps, objets… Peut-être l’ancienne cinéaste essaie-t-elle ainsi de restituer sur la toile le mouvement du monde que la photographie ne saurait
rendre ? Ses sujets, mouvants et colorés, dégagent de "l’énergie" : précisément l’énergie qu’ils ont dans la réalité. Ainsi, Jimmie Stan restitue par la peinture la réalité
au-delà de ce que proposent l’hyper-réalisme ou la photographie… ce qui est principalement ce qu’on attend
de cet art. La peintre nous montre plus que ce que voient
nos yeux.
L’artiste aime les voyages, pendant lesquels elle emplit ses carnets d’esquisses. Puis, dans son atelier, travaille à retrouver et projeter sur la toile la lumière et le mouvement des images gardées en mémoire. Elle se montre attentive au geste du pinceau et à la respiration, qui lui sont insufflés par la pratique du yoga et de la méditation. Sagesse et sérénité n’empêchent pourtant pas Georgeta Cordier de se montrer audacieuse… mais sans pour autant jamais perdre ou déboussoler le spectateur. Ses tableaux, en effet, nous parlent, parlent à l’esprit et au cœur. Ils figurent le monde, par le filtre du mouvement et de la lumière, qui jouent avec l’eau de la mer ou les courbes des corps. Ils procurent du plaisir – ce qu’on attend enfin de la peinture. Ouvrez vos yeux sur le travail de Georgeta Cordier, peintre du mouvement et de la couleur du monde…

Christophe Chomant, éditeur